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On commence l’année 2025 du bon pied !

Photo du rédacteur: Luc ThibertLuc Thibert

Le 1er janvier est déjà derrière nous. Vous avez à peine cligné des yeux et voilà, l’année a démarré sans prévenir. Vous saviez pourtant que 2024 tirait à sa fin. Peut-être aviez-vous prévu dresser un bilan des douze derniers mois, prendre des résolutions, fixer des objectifs ou instaurer de nouvelles habitudes pour 2025… mais, sans crier gare, le temps vous a échappé.


Vous vous demandez peut-être : est-ce si important de se lever tôt ? Dois-je vraiment faire de l'exercice chaque jour ? Peut-être n’êtes-vous pas un maître de la procrastination, mais la nouvelle année semble vous avoir pris de court. À l’inverse, peut-être faites-vous partie de ceux qui, dès le départ, avaient décidé de débuter cette nouvelle année à toute allure, prêts à la vivre sur un nouveau rythme. Si tel est le cas, attention à une tendance bien humaine : celle de démarrer en force pour s’essouffler trop vite.



Le stoïcisme peut nous être d’une grande aide dans ce domaine. Comme le rappelle Marc Aurèle dans ses Méditations, l’essentiel réside dans notre capacité à restaurer l’harmonie et à recoller les morceaux rapidement lorsque nous dévions. Il écrit : « Lorsqu'on est secoué par les circonstances, on revient immédiatement à soi et on ne perd pas le rythme plus que l'on ne peut l'éviter. Vous saisirez mieux l'harmonie si vous y revenez sans cesse. »


Le rythme ne se perd pas ; c’est nous qui le perdons. Lui, il continue, imperturbable, avec ou sans nous. Le droit chemin reste toujours accessible, et ce, toute l’année. Il suffit simplement d’y revenir, dès qu’on prend conscience de notre décalage. Peu importe combien de fois nous avons trébuché ou dévié, ce chemin est là, ouvert pour nous, prêt à nous accueillir chaque fois que nous choisissons de le réintégrer.


Maintenir de bonnes habitudes n’est pas aussi difficile qu’on le croit. Rappelons-nous : nous sommes au gouvernail de notre navire. Personne d’autre ne le dirige à notre place. Et cela, il est bon de s’en souvenir.


Luc Thibert

 
 
 

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