
Dans les nouvelles disparates qui meublent ce livre se confondent le fond et la forme, la chose à dire et la manière de le dire. J’essaie ainsi de toujours sortir de ma zone de confort en poussant ma créativité à fond. Comme le disais Hemingway ; « La vie, il faut la digérer pour ensuite être capable de pouvoir créer ses propres personnages ». Je crois être rendu à cette étape où la circonspection émanant des nombreuses expériences de vie d’homme peut finalement être étalée au grand jour par le biais de bribes d’histoires fictives.
Le nouvelliste a le sentiment de diriger le lecteur : il l'empoigne à la première phrase pour l'amener à la dernière, sans arrêt, sans escale. Ce n’est pas de moi, c’est d’Éric-Emmanuel Schmitt. J’aime bien ce qu’énonce monsieur Schmitt qui, soit dit en passant est un homme que j’admire beaucoup. Autant pour sa belle plume que pour sa soif de réponses, souvent inspirée du mysticisme, tout comme moi.
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